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cette manière en gouvernement officiel, apprit enfin à l’Internationale stupéfiée le coup d’État qu’elle venait de subir.

Je pense que M. Marx, infatué de son triomphe par trop facile pour être solide et du pouvoir dictatorial dont on l’avait investi, avait poussé l’aveuglement jusqu’à ne point se douter du terrible orage que son coup d’État devait soulever dans les régions indépendantes de l’Internationale. L’honneur de la première révolte appartient à la Fédération du Jura.

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(Le manuscrit s’interrompt ici.)