camrade, sayé. » Avla yève amarre li coups de fouéte piqué, piqué. Couroupa vlé zette li, napas fouti ; labride coupe so labouce, coups de fouéte tourdi li, li blizé galoupé. Zaute passe enbas lafenéte lafille léroi, yève tire éne coup d’çapeau.
Bord lamer napas loin ; yève faire li éne condiré oblize li ente dans dileau. Couroupa napas coné nazé, li vlé arrêté, napas môyen, bourré même, bourré, bourré. Dileau làhaut so latéte ; li batte batte lébras, li ouvert labouce pour crié, dileau entré, li nôyé.
Yève tourne à terre ; lhére son linze séc li alle lacase lafille léroi, li dire li :
« Couroupa là éne faye faye çouval ; mo fine vende li sembe éne manman houritte. »
empruntés à trois contes nègres américains. Et nos archives mauriciennes ne nous diront jamais comment et à quelle époque ont eu lieu ces importations ! Nous savons du moins que c’est La Bourdonnaie qui nous a porté le manioc emprunté au Brésil.
Eh zaute ! quiquefois zistoire Yéve av Couroupas fine passe grand dileau sembe ça dibois mayoc là, oui !
Que d’intéressants problèmes dont la solution se dérobe ainsi !