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pleurer ! Tous vous êtes dans l’affliction, mes frères ! tous, je le vois, vous sentez votre perte. Mais personne, personne ne pouvait comme moi savoir quel bon cœur, quel cœur excellent avait notre roi ! Laissez, laissez mes yeux se fondre en eau. »

Le lièvre quitte le cimetière et va chercher du cresson au bord de la rivière.[1]


  1. Ici Lindor hausse le ton. Il s’élève jusqu’à la satire : les deux