Page:Bainville - Bismarck.djvu/238

Cette page a été validée par deux contributeurs.

blé que tout échouât, tant il avait dû accorder d’intérêts, de rivalités, d’amours-propres, de traditions et d’influences qui auraient rendu sa tâche difficile, sinon impossible, et qui auraient pu, du moins, changer le caractère et compromettre la solidité de son œuvre, s’il eût trouvé devant lui une autre France que celle de la République et de Napoléon III.