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d’associations d'habitants autorisés à s’entre-secourir, en vertu de concessions de l’autorité royale. Et la nation, assujettie à autant de maîtres qu’il existait de seigneurie, n’était plus représentée ni défendue dans les placites généraux ou grand parlements, ni dans les placites provinciaux. Ces assemblées ne se réunissaient plus depuis que l’anarchie féodale avait détruit la puissance publique.