Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
VII
Scène de la vie champêtre
De bonne heure, le matin suivant, le vacarme de la cour réveilla Boureil. Les vaches, les poules, les moutons, les chiens, les hommes, criaient à l’envi. Une guêpe circulait entre les cloisons de sa chambre tendue de papiers à fleurs roses.
Boureil recouvra soudain toute sa mémoire. Alors il lui souvint de sa surprise à l’hôtel. Pour contre-balancer la peine qu’il en a, il veut se rappeler les bons soins de Simone ; mais c’est comme jouer tout seul à tape-cul… Il se prit à frisonner, à claquer des dents.
Simone entra. Elle tira le store et la lumière frappa Boureil comme une lame