Page:Bacon - La Nouvelle Atlantide de François Bacon, 1702.djvu/11

Cette page n’a pas encore été corrigée

atteintes de la Critique, mais pour l’Auteur. Le VARRON de notre siècle, que j’ai loué en passant, est si modeste, que j’appréhende qu’il ne s’élève contre moi, quoique mes expressions sur son sujet ne contiennent que la pure vérité. Cela m’engage à vous supplier, MONSEIGNEUR, de m’accorder votre secours et d’employer l’amitié parfaite qui vous unit avec ce grand Homme, à me le rendre favorable. La bonté que vous m’avez, toujours témoignée, me fait bien augurer du succès de la prière que je