grand nombre de morceaux, ces morceaux frémissent et palpitent.
Les plantes, et, en général, les végétaux, feront le sujet de cette centurie et des trois suivantes ; sujet vraiment intéressant, et sur lequel nous fixerons d’autant plus volontiers notre attention, que c’est ce règne qui fournit les matières à la médecine, à l’art de nourrir notre espèce, et à une infinité d’arts méchaniques.
401. Nous fîmes semer du froment, des pois et des graines de navet, de raifort, de concombre, etc. sur une couche à laquelle, vu ses puissans effets, nous donnions le nom de couche chaude, et qu’on avoit formée par le procédé suivant. On prit du fumier vieux et bien consommé : sur une terre relevée d’un demi-pied, on en forma une couche de hauteur raison-