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leur substance et de leur nature, envisagée comme résidante, avec toute sa force et toute son énergie, dans chacune de leurs parties similaires, mais abstraction faite de leur rapport avec le tout[1]. Enfin, la cinquième partie renferme l’histoire des petites classes ou des espèces qui ont été jusqu’ici le principal sujet de l’histoire naturelle. Quant à l’histoire des praeter-générations, il seroit plus à propos, comme nous le disions plus haut, de la réunir avec celle des générations ; ce qu’il faut toujours entendre de celle dont les faits, quoique fort étonnans, ne laissent pas d’être naturels. L’histoire superstitieuse, je veux dire celle des miracles et des prodiges, vrais ou faux, doit d’autant moins nous arrêter ici, que nous la reléguons dans un traité ex-professo ; et ce traité, ce n’est pas en commençant qu’il faut l’entreprendre, mais un peu plus tard, et lorsqu’on aura fait

  1. Cette distinction ne détruit pas celle que nous avons faite dans la note précédente.