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XIV.

Que notre histoire naturelle soit encore bien pauvre et bien incomplète, c’est ce dont on aura d’autant moins de peine à s’apercevoir, que, dans les tables précédentes, au lieu d’une histoire et de faits bien constatés, nous insérons quelquefois de pures traditions, de simples ouï-dire (sans oublier pourtant la précaution d’y joindre quelqu’avertissement qui mette le lecteur en état de distinguer les faits douteux, de ceux qui sont appuyés sur de plus graves autorités) ; nous sommes et souvent obligés d’employer ces expressions : c’est un fait à vérifier, une expérience à tenter ; ou encore, ce point auroit besoin d’être éclairci par des observations plus exactes.




Commentaire du second chapitre.


(a) L’exposé de ces faits doit être purement historique, etc. Pour bien saisir l’esprit de la métho-