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doit l’employer. 1°. Il faut, dans l’astrologie saine, donner une place à la doctrine sur le mélange des rayons qui est l’effet des conjonctions et des oppositions, et autres sizygies ou aspects réciproques des planètes. Nous assignons aussi à cette partie la position des planètes dans les signes du zodiaque, et leur situation sous ces mêmes signes. Car la situation d’une planète sous un signe n’est autre chose que sa conjonction avec les étoiles de ce même signe. Il y a plus : les oppositions et les autres sizygies des planètes ainsi que leurs conjonctions par rapport aux étoiles des signes, doivent être observées avec soin ; mais c’est ce qu’on n’a pas encore fait assez complètement. Quant à la considération du mélange réciproque des rayons des étoiles fixes, elle est utile à la recherche qui a pour objet le système du monde et la nature des régions subjacentes mais elle ne sert de rien pour les prédictions, parce que les situations de ces étoiles sont toujours les mêmes. En second lieu, il