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ves peuvent et doivent se ressembler ; savoir : quand l’apogée parcourt les signes des gémeaux et de l’écrevisse, du sagittaire et du capricorne.

Mais quant aux signes parallèles, intermédiaires, l’apogée passant de l’un à l’autre, par exemple, du taureau au lion, en trois ans, une troisième année pourra aussi quelquefois ressembler à une première.

Mais, dans de telles années, il ne devroit point y avoir d’accidens extraordinaires, l’impression de ces situations étant médiocre, et on devra probablement s’attendre, en pareille situation de l’apogée, à des années uniformes et tempérées.

Deux situations non moins et peut-être plus remarquables que les solsticiales, sont celles des équinoxes, qui comprennent à peu près un signe de chaque côté de l’équateur ; savoir : les poissons et le bélier, pour l’équinoxe du printemps ; la vierge et la balance, pour celui d’automne.