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effet dont la conséquence, purement accidentelle, est que les autres parties se retirent et se rapprochent les unes des autres, soit en vertu de l’horreur du vuide, soit par quelque autre mouvement (tendance, effort,) dont il n’est pas question ici.

7. Il est certain que la putréfaction, ainsi que la dessiccation, a pour cause l’esprit inné des corps, mais agissant d’une manière bien différente dans les dcux cas ; car, dans la putréfaction, l’esprit, en partie, poussé au dehors, et en partie, retenu, produit à l’intérieur des effets étonnans ; et si alors les parties intérieures se rapprochent, c’est moins en vertu d’une contraction locale, que par une sorte d’attraction, chacune s’unissant à ses homogènes.