genre. Car, ayant fait alors le cens ou le dénombrement (et le cens est, par rapport aux âges des individus, ce qu’il y a de plus authentique) on trouva, dans cette seule partie de l’Italie, qui est bornée d’un côté par l’Apennin, et de l’autre par le Pô, cent vingt-quatre hommes âgés au moins de cent ans ; savoir :
Cinquante-quatre, âgés de cent ans justes ;
Cinquante-sept, de cent dix ans ;
Deux, de cent vingt-cinq ans ;
Quatre, de cent trente ans ;
Quatre, de cent trente-cinq ou de cent trente-sept ans ;
Trois, de cent quarante ans.
Outre ceux dont nous venons de faire l’énumération on trouva nommément à Parme cinq vieillards, dont trois étoient âgés de cent vingt ans, et deux de cent trente ans.
A. Brusello, un de cent vingt-cinq ans ;
A. Plaisance, un de cent trente-un ans ;
A. Faenza, une femme de cent trente-deux ans ;