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Note XXXI. — Au sous-titre.

Cette chanson fut dirigée contre de trop nombreuses réunions de gastronomes qui remplissaient les journaux des détails de leurs gloutonneries. Les chansonniers mêmes ne parlaient plus que de boire et de manger. Ces mots étaient les refrains les plus habituels du Caveau. (Note de Béranger.)


Note XXXII. — À la date.

L’ennemi avançait sur Paris, et l’auteur n’avait pas encore osé élever le ton de la chanson. Sans cela, c’eût été d’une voix plus grave qu’il eût exprimé les sentiments qui l’agitaient alors. Il est nécessaire d’ajouter que personne ne pouvait se persuader que Paris tomberait si facilement au pouvoir des étrangers, et que rien jusque-là n’avait troublé les plaisirs de cette capitale.

Le jour de la première reddition de Paris, le matin, on afficha encore les spectacles. (Note de Béranger.)

Note XXXIII.

Il y a dans le recueil d’Olivier Basselin, donné par Jean le Houx, une chanson qui ressemble fort à celle-ci. (Note de l’Éditeur.)