mée, et que la gaieté même devait avoir son utilité. (Note de Béranger.)
Parny, le plus célèbre de nos poëtes élégiaques, auteur de la Guerre des dieux et de tant d’autres productions pleines de grâce et d’esprit, mourut en 1814. Sa philosophie hardie l’ayant rendu odieux aux hommes de cette époque, peu de voix osèrent témoigner les regrets que devait inspirer la perte de ce poëte aimable, l’une des gloires les plus réelles du temps où il a vécu. (Note de Béranger.)
Voilà une des premières chansons de l’auteur qui aient obtenu de la vogue. Elle date de 1810 ou 1811. Le succès de cette chanson et de quelques autres ne suffit point pour faire penser à Béranger qu’il ne dût s’adonner qu’à ce genre. Il travaillait alors à des idylles que plus tard il abandonna. (Note de Béranger.)
1813. (Note de Béranger.)