C’est par-ci, c’est par-là,
Trala, trala, tralala ;
C’est par-ci, c’est par-là,
C’est le diable en falbala.
Bien que le chemin soit long
De la cuisine au salon,
J’en viens, dit-elle, à mes fins !
Dormons tard dans des draps fins.
C’est par-ci, c’est par-là,
Trala, trala, tralala ;
C’est par-ci, c’est par-là,
C’est le diable en falbala.
Depuis lors, certain valet,
N’ouvrant qu’un coin du volet,
Au lit, d’un air échauffé,
Porte à Gotton son café.
C’est par-ci, c’est par-là,
Trala, trala, tralala ;
C’est par-ci, c’est par-là,
C’est le diable en falbala.
Au château tous empâtés,
Que d’ânes elle a bâtés !
Notre maire, qui la fait ?
Gotton et le sous-préfet.
C’est par-ci, c’est par-là,
Trala, trala, tralala ;