Page:Béland - Mille et un jours en prison à Berlin, 1919.djvu/47

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
40
MILLE ET UN JOURS

ouvrant une fenêtre, je constatai qu’un grand nombre de femmes et d’enfants dormaient encore dans les allées du jardin. Les Allemands n’étaient pas encore arrivés, mais cela ne pouvait tarder.