Page:Béland - Mille et un jours en prison à Berlin, 1919.djvu/165

Cette page a été validée par deux contributeurs.
161
EN PRISON À BERLIN

vrions nous rendre au parc par chemin de fer et en revenir de même.

Je me suis naturellement prévalu de cette permission qui m’était donnée d’aller respirer l’air pur, deux fois par semaine, pendant quelques heures, et cela, je crois, n’a pas peu contribué à me remonter tant au physique qu’au moral.