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avant et droites, mais légèrement écartées, il découvre ainsi parfaitement et place bien à sa portée le con à enfiler, il en approche alors son vit, qui, par la position, y entre tout seul et il pousse ; une fois qu’il y est, il joue des reins en avant et en arrière et en même temps il agite en haut et en bas, tantôt l’une des jambes qu’il tient, tantôt l’autre, et tantôt toutes les deux à la fois, ce qui opère dans le con des mouvements divers, des frottements et pressions qui caressent voluptueusement le bienheureux vit, le font bander davantage, et communiquent aux deux parties agissantes, des plaisirs indescriptibles, qui ne se terminent hélas que trop tôt, par une double et réciproque éjaculation.

LII. Manière de faire un garçon.

La femme se couche le dos en travers sur un lit, les jambes en dehors, l’homme se met debout pieds à terre devant elle, il lui prend la cuisse droite au jarret, la place jambe pendante dessous son bras gauche, puis il enlève avec sa main droite la cuisse gauche de la femme, qu’il place toute droite ainsi que la jambe dont le jarret vient ainsi se fixer sur le devant de son épaule droite,