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XLIX. La Grande entrée.

La femme est assise sur le bord et en avant d’un canapé, les cuisses ouvertes, les genoux en dehors et relevés, les jambes repliées sous elle de manière à ce que ses talons touchent ses fesses, et la pointe de ses pieds appuyés sur des carreaux de pied élevés presqu’à la hauteur du canapé, elle est soutenue par derrière par des coussins. L’homme se met à genoux entre les carreaux où sont les pointes des pieds de la dame, il s’approche de l’autel qui lui est si bien offert, il y dirige le vit sacrificateur, et l’y plonge jusqu’au poil, place ses mains dessous les fesses de la dame et les attire à lui, en même temps qu’il pousse et repousse de toute la force de ses reins, les visages se rapprochent, la langue fourrée fait son jeu, les langues s’unissent en frétillant ce que font aussi les culs, bientôt le feu du plaisir brille, et une ample et réciproque décharge prouve à la fois le mérite de la posture, qu’on appelle la grande entrée à juste titre, car les deux battants sont ouverts naturellement, et la volupté que les acteurs ont goûtée.