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ne pas comme on dit casser la bouteille de l’enfant.

XLVII. L’enfilade sur piedestal.

On place un coussin, soit sur un piedestal ou tronçon de colonne, soit sur le coin d’une table ou d’un autre meuble de deux pieds et demi environ, la femme s’asseoit dessus, l’homme se place devant elle entre ses cuisses qu’elle relève alors, de manière à ce que ses genoux viennent aux aisselles de l’homme, après lequel elle se tient de ses deux mains passées au col, elle croise ses jambes derrière l’homme, qui, debout dirige d’abord son vit dans le con si bien ouvert devant lui par sa position, ensuite, il presse contre lui des deux mains, la femme qu’il prend à cet effet aux reins et aux fesses, et qui ne touche qu’à peine au coussin par le coccix, celà se rapproche un peu de l’Herculéenne no 23, mais c’est moins fatigant. Quand on a à faire à une femme extrêmement souple, la femme au lieu de mettre ses cuisses le long des côtes de l’homme et ses jambes croisées derrière son dos, les relève jusques sur les épaules de l’homme. Le vit entre déjà beaucoup avec les genoux dessous les aisselles, mais il entre davantage encore de cette dernière façon seulement plus fatigante, et qui exige dans les femmes une grande flexibilité de charnière.