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con qui se trouve mis ainsi à sa portée, la femme s’appuie de l’autre main sur le dos d’une chaise placée de côté derrière elle, sur les bâtons bas de laquelle l’amant met ses pieds pour la maintenir. Il tient, lui, d’une main la femme par le bas des reins et de l’autre la palpe, la patine aux tètons, au ventre et à l’atelier en fonction. Les deux amants travaillent ainsi placés, du cul et des reins, et finissent comme toujours par décharger admirablement.

XLVI. La Bonne mère bonne épouse.

Cette posture est à peu près la contre façon de la précédente. La femme est à demi couchée en travers sur le lit, appuyée sur un coude, son enfant au sein opposé, des oreillers derrière elle pour soutenir ses épaules et sa tête, les jambes et cuisses hors du lit. L’homme passe à côté d’elle, lui enlève une jambe qu’il place sur son épaule et place l’autre sur son genou ; par cette position il enfile en levrette de côté, la femme qui s’y prête de la meilleure grâce du monde, tout en donnant à téter à son enfant, qui se trouve fort agréablement bercé dans les bras de la mère, par les coup de reins et de cul que se donnent les acteurs. La femme décharge son foutre en même temps que son lait, elle recommande seulement à son ami qui va en faire autant de ne pas le lui lâcher dans le con, mais de décharger dehors pour