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aussi le même résultat, c’est à dire une décharge mutuelle et tout aussi agréable.

XLIV. Le Grand T renversé.

L’homme s’asseoit sur le lit, les jambes et cuisses allongées, à plat, la femme se met à cheval sur lui, poitrine contre poitrine, bouche contre bouche, elle passe chacune de ses cuisses et de ses jambes à droite et à gauche de celles de l’homme et allongées à plat derrière lui. Ces deux corps collés l’un contre l’autre, ces jambes allongées, celles de la femme derrière l’homme, celles de l’homme derrière la femme leur donne vue de profil la figure d’un grand T renversé (⟂) qui donne le nom à cette position ; les mains des deux amants étant libres, ils placent d’abord l’un ou l’autre le vit dans le con, et la position une fois fixée ; ils se caressent, se patinent, font langue fourrée, remuent les reins et les fesses, ce qui les conduit inévitablement à une charmante décharge réciproque.

XLV. L’enfilade de côté.

L’homme se place sur le bord et en travers d’un fauteuil, le dos appuyé au dossier, la femme s’assied en travers une fesse sur un genou de l’homme qu’elle tient par une épaule et l’autre fesse relevée ainsi que sa cuisse sur le bas ventre de l’homme et le pied sur le bras du fauteuil pour qu’il puisse introduire son vit en dessous, dans le