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XLII. La Chevauchée croisée droite.

Elle ne se fait que sur un banc ou une banquette étroite, sur laquelle l’homme se couche de son long sur le dos, la femme monte à cheval sur lui, jambes et cuisses pendant à gauche et la figure tournée du côté du visage de l’homme qui a les mains libres et s’en sert sur tous les appas de sa maîtresse, et notamment sur ceux qu’il pénètre de son vit, que la femme a le soin de placer elle même dans son con, étant très commodément placée pour celà. L’amant fait le saut de carpe en haut et en bas, et la femme tortille légèrement du cul en avant et en arrière et des côtés, ces mouvement bien combinés sont délicieux et procurent aux deux acteurs de telles sensations qu’ils ne tardent guère à s’en donner réciproquement des preuves liquides.

XLIII. La Chevauchée croisée renversée.

C’est absolument la même posture que la précédente, si ce n’est que la femme a la figure tournée du côté des pieds de l’homme dont par cette position elle peut prendre entre ses cuisses les couilles et la racine du vit avec l’une de ses deux mains ou avec toutes deux. L’homme au lieu d’avoir la vue de l’atelier, du ventre et des tètons, a les yeux sur le dos, les reins et les fesses de la femme, du reste ils agissent tous deux comme dans la précédente posture, et en obtiennent