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XXXIII. La Levrette à genoux.

La femme se met à quatre pattes sur les coudes à genoux sur le lit ou par terre, l’homme se met à genoux derrière elle, ajuste son vit entre les lèvres qu’il écarte du con de la belle, qui le lui offre parfaitement en vue, parcequ’elle a la tête plus basse que le cul ; quand il est installé il peut d’une main branler en avant le clitoris du con qu’il fout, et en chatouiller la motte, tandis que de l’autre main se penchant en avant sur le dos de la femme, il lui prendra les tètons, en frottera les fraises, lui baisera le dos et les épaules, la femme peut ne se soutenir que d’un coude pour avoir l’autre main libre, avec laquelle elle peut en la passant entre ses cuisses, branler les couilles de son fouteur, elle se baissera aussi un peu plus en avant, et c’est tant mieux, car plus la femme sera courbée, plus l’entrée sera facile, les amants y gagneront un et deux pouces de longueur si le visage de la femme est tout-à-fait à terre. Par cette posture aussi, pas une goutte de foutre que les amants se lancent réciproquement n’est perdu, tout reste dans le con, à leur grand plaisir réciproque.

XXXIV. La Levrette ordinaire sur
le lit ou à pied.

C’est la même posture que la précédente à