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bientôt ils n’y voient plus clair, leurs yeux se brouillent, ils les portent au plafond, leurs corps se raidiſsent et nos amants restent sans mouvement après avoir laché tous deux les flots de la liqueur amoureuse, au milieu des plus doux transports.

XXXII. La Levrette de côté.

La femme se couche de son long sur le côté horisontalement au bord du lit, le cul tourné en dehors, les jambes et cuisses pliées dans le sens demi-perpendiculaire du lit ; de manière à faire ce qu’on appelle beau cul, l’homme se met debout, pied à terre derrière ce cul, il relève la cuisse qui est en dessus, saisit le pied de cette jambe par le talon, en renversant en arrière une main, passe l’autre main par devant et dirige son vit, de derrière en avant dans le con, l’y place et ensuite de cette même main, il patine et caresse tous les appas qu’il peut atteindre, il clitorise sa belle qui se tient d’une main à la tête de son amant, et a l’autre bras sur les oreillers, il lui caresse le ventre, les tètons, les fesses, les reins &a, et en même temps il lui pousse des bottes vigoureuses qui faisant leur effet ordinaire, amènent de part et d’autre des jets d’un foutre chaud dont l’élancement cause de si grandes extases.