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de son con qui suce le foutre que lui lance abondamment l’outil du fouteur.

XXVIII. La double Paresse.

La femme se couche sur le côté, elle passe ses bras autour du col de l’homme couché sur le côté opposé, pour lui faire face, lui, passe ses jambes et ses cuisses entre celles de la femme qu’il prend à bras le corps au dessous des aisselles, après avoir guidé à l’ordinaire son vit dans le con entr’ouvert par l’installation de l’homme entre les colonnes. Les acteurs remuent mollement tous deux dans cette position, en se faisant langue fourrée, mais échauffés bientôt par la chaleur douce et réciproque des esprits aimantés, qui attirent mutuellement l’homme vers la femme et la femme vers l’homme. Après avoir goûté quelques moments de bonheur de se sentir ainsi collés l’un dans l’autre sans effort pénible, les mouvements s’accélèrent malgré eux, et le foutre qui part de tous côtés les oblige à se presser l’un contre l’autre avec une espèce de fureur tout-à-fait en opposition avec les commencements de l’action qui n’annonçaient d’abord que nonchalance.

XXIX. La double Paresse à l’envers
ou en levrette.

C’est le même système que la précédente seulement la femme couchée sur le côté tourne le dos à