par décharger au moment où elle sent que son amant l’inonde d’un foutre brûlant, baume excellent pour combattre la paresse féminine.
XXVII. La Paresseuse à l’envers ou
en levrette.
C’est la contre partie de la précédente, c’est-à-dire qu’elle se fait en levrette. La femme se couche à moitié en travers du lit, le dos tourné les épaules et la tête sur l’oreiller un peu relevé, l’homme se présente par ses pieds, fait tomber à terre la jambe de la femme la plus rapprochée du bord du lit, saisit l’autre par le genou passe derrière et la pose sur sa hanche, le bout du pied pose sur le pied du bois de lit, il passe un bras dessous les omoplates de la femme, qui a ses bras étendus nonchalamment à droite et à gauche sur le lit, avec son autre main qu’il passe par devant, il dirige son vit au con, l’y introduit de derrière en avant, et cette même main se porte ensuite, soit aux tètons de la belle, soit à l’atelier dont il chatouille les alentours, et notamment le clitoris, il baise la Bouche les yeux à demi fermés, toute la figure de sa maîtresse qui le laisse tout faire sans se livrer elle même à aucun mouvement, mais qui finit pourtant par décharger et témoigne son plaisir par un léger tréssaillement des fesses et le rétrécissement subit