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droite le cul de la belle et le chatouillant un peu le trou du cul, tandis que de la gauche il la caresse aux tètons et à l’atelier où ils travaillent tous deux. Elle se soutient de la main droite en arrière sur le genou relevé de son amant, et de sa main gauche elle lui caresse la figure. Celà se termine comme à l’ordinaire par une double décharge. C’est la position de genou en terre de la femme, qui a fait appeler cette posture feu de premier rang. Tous les gardes nationaux comprendront celà.

XXVI. La Paresseuse.

La femme couchée sur le lit, les bras croisés par dessus la tête sur le haut de l’oreiller, le dos sur le bas ; a les reins tournés du côté opposé à celui où est placé son amant qui se couche assis sur le côté de manière à être tourné le visage vers sa belle, il se met entre les [cuisses] de la dame, dont il soulève celle qui se trouve sur l’autre par sa courbure de côté, et qu’il met par dessus sa hanche à lui, il approche son vit en passant son corps par dessus la cuisse de la femme restée sur le lit, le guide dans le con de la paresseuse qui ne bouge point, et lui passant ses bras ou l’un d’eux dessous les omoplates, il la pelotte de l’autre main lui baise les tètons, le col, le visage ; et vous la secoue du cul d’importance, ce qui oblige cette femme à finir