Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/74

Cette page a été validée par deux contributeurs.
64.

pieds sur les bâtons bas des tabourets qui servent d’appui aux mains de son amant, et appuyant elle-même des mains en arrière sur les tabourets placés aux pieds de son amant. Ces deux corps ainsi croisés et penchés en arrière, jambes en sens inverse, et fixés au milieu par le vit au con, prennent réellement à la vue, la forme de l’X romain, et ont déterminé le nom donné à cette posture capricieuse qui ne tarde pas plus que les autres à amener le plaisir de l’éjaculation réciproque et les transports qui l’accompagnent.

XXIII. L’Herculéenne.

L’homme est debout, le vit bandant, si raide qu’il lui remonte au nombril, la femme sans s’effrayer, se met en face de cet homme qui semble la désirer, elle l’étreint de ses deux bras au col, elle plie ses jambes et ses cuisses, et par une secousse saute cuisses et jambes écartées qu’elle place, les genoux au dessus des hanches de l’homme, elle croise ses jambes derrière elle sur ses reins, les talons à ses fesses, et le con venant ainsi frotter sur ce vit menaçant. L’homme alors la prend dessous les fesses, d’une main qui lui sert à diriger son vit dans le con, il l’y plonge jusqu’aux poils, presse les fesses de la femme contre lui et de son autre main, lui appuie les reins