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au lieu d’être assis comme au no 19, est couché et la femme montée sur lui à cheval à croupion, les pieds sur le lit, la figure tournée vers celle de l’homme. Au lieu de se tenir aux épaules de l’homme elle lui tient une main seulement, ils ont chacun ainsi une main de libre, dont ils se servent pour se caresser mutuellement, elle en de tournant un peu de côté peut par derrière et par dessous ses cuisses saisir la racine du vit et les couilles de l’homme, qui peut badiner avec les appas de devant de la belle, ses tètons, ses cuisses, son ventre, et l’entre-deux, et comme cela ne nuit en rien à l’effet des mouvements qu’ils se donnent, au contraire, ils perdent bientôt tous deux à ce jeu, leurs forces et leur foutre au milieu des sensations les plus vives et les plus délectables.

XXII. L’X Romaine.

L’homme assis sur un tabouret, se penche en arrière, chacune de ses mains appuyée sur deux autres tabourets, un peu en arrière, il a encore deux autres tabourets à côté de chacun de ses pieds unis et allongés. La femme se met à cheval sur lui le visage tourné du côté du sien, elle place elle-même le vit de son fouteur dans le con qu’elle lui livre et quand il y est, elle se penche aussi en arrière allongeant ses jambes et portant ses