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se rapproche alors de la perspective du Bas-Rhin, (no 7) sans être néanmoins tout-à-fait la même. Dans le no 7 la femme est à genoux ici elle est sur ses pieds et accroupie sur le vit de l’homme, le dos tourné au visage de ce dernier, de façon que le con ressort bien mieux, les cuisses et les genoux de la femme remontent à gauche et à droite de son ventre au lieu de descendre pour avoir les genoux sur le lit. Les amants y gagnent au moins un pouce d’entrée du vit dans le con. L’homme n’a pas à craindre que sa maîtresse tombe à la renverse, car elle tomberait sur lui et ne se ferait aucun mal, la soutient seulement d’une main et de l’autre il patine et pelotte tout ce qu’il peut atteindre, devant et derrière des appas de sa maîtresse, qui de son côté peut jouir des entrées et des sorties du vit dans son con, comme elle peut se clitoriser et même jouer avec la racine du vit et les couilles de son fouteur. Cette position s’appelle le pal en arrière elle est délicieuse et procure aux acteurs des voluptés inouies dans les décharges réciproques qu’elles leur font faire.

XXI. le Pal en avant.

Cette position a beaucoup d’analogie avec le bidet au trot à l’anglaise (no 19). Ici l’homme