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59.

l’homme se place derrière la femme, l’enfile en levrette, c’est-à-dire qu’écartant les fesses la position penchée de la femme lui offre, il lui met son vit au con en dessous le trou du cul (voir plus bas la levrette simple). Ensuite il prend chacune des cuisses et jambes de la femme à la hauteur des jarrets, dessous chacun de ses bras, il les place le long de ses hanches, il pousse ainsi devant lui en enfonçant son vit dans le con de la femme, qui, n’ayant plus d’appui que le tabouret à roues, ou le bâton à roues aussi, roule en avant comme ferait une brouette. L’homme peut la conduire ainsi où il veut, et la foutre tout en marchant, ayant pour perspective le dos, les reins, le cul de la femme et l’atelier de leur jouissance. Si la femme est assez forte pour se soutenir d’une seule main, elle peut en allongeant l’autre, soit se clitoriser, soit badiner en dessous avec les couilles de l’amant, pour le presser de décharger, car la position pour elle est un peu incommode, et elle doit désirer de hâter la fin de la joûte, qui finit par cette bienheureuse décharge.

XVIII. La brouette à l’envers.

Cette posture, un peu moins fatigante pour la femme, ne se pratique guère, non plus