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des mouvements et frétillements dont la vue ferait décharger un mort, aussi la besogne s’en ressent-elle, et le vanneur y va de si bon cœur, qu’il arrive à la fin de son œuvre, et au lieu de la poussière que le van ordinaire produit, il lance au fond des entrailles de la femme qui le lui rend avec usure, la rosée bénigne de l’amour.

XVI. Le Van sur le dos.

C’est la même posture renversée, la femme se met sur le dos au lieu d’être à plat ventre, et l’homme procède comme dans la posture précédente, il tient les jambes de la femme dessous les jarrets, et lui fait face. Au lieu d’avoir la vue du dos, des reins et du cul de la femme, il a celle de ses tètons de son ventre et de sa motte. La femme ici, conduit elle-même le vit dans son con, ce qui n’est pas à dédaigner. Le reste se fait comme dans la posture précédente et arrive bientôt à un résultat analogue, c’est-à-dire à une décharge réciproque et voluptueuse.

XVII. La Brouette.

La femme courbée appuie ses mains en avant soit sur un tabouret de pied à roulettes, soit sur le milieu d’un bâton court ayant une roue à droite et à gauche de cette roue unique ;