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sont pas oisifs, et une éjaculation prompte, mutuelle et délicieuse fournit la preuve irrécusable que la prière de la femme est exaucée.

XII. La prière de l’homme.

L’homme prend la place de la femme dans la posture précédente, à genoux un peu penché en arrière, les fesses vers les talons sur le lit ou canapé sur lequel la femme monte, elle se met en face, écarte les cuisses, approche son ventre de la poitrine de son fouteur, elle le tient de ses bras autour du cou et il lui met les mains dessous les fesses pour la soutenir, il écarte en dessous les lèvres du con vers lequel il dirige son instrument en bel état ; la femme alors se plie pour l’introduction complète et l’homme se trouve avoir ainsi devant la bouche les tètons de sa maîtresse dans lesquels il peut fourrager à son aise avec sa figure ; il soulève de ses mains et laisse retomber tour à tour les fesses qu’il tient, de manière à faire entrer et sortie en partie et sans déconner son vit de son agréable étui, les amants combinent enfin leurs mouvements, et au bout de quelques minutes ils sentent partir de leurs veines, les flots de cette liqueur, dont l’épanchement cause tant de volupté, et l’objet de la prière que fesait l’homme à son tour.