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de derrière en avant, et elle se baisse un peu quand l’introduction est faite, elle peut alors de sa main droite, se clitoriser, c’est-à-dire, branler son clitoris, ou caresser la figure de son amant qui, lui, de sa main droite, peut badiner avec les fesses, et les reins de la femme assise en partie sur la cuisse droite de son amant. Ces badinage et les mouvements réciproques qu’ils se donnent, amènent bientôt la douce émission mutuelle de la liqueur amoureuse.

XI. La prière d’une femme.

La femme se met genoux sur le bord d’un lit bas, ou d’un canapé, les cuisses écartées, l’homme se met en face d’elle, debout entre ses cuisses, il tient d’une main son vit raide, qu’il dirige dans la bienheureuse ouverture, il étreint la femme au dessus ou au dessous des épaules, selon les tailles respectives, de son autre main qu’il ramène par devant sur les tètons, s’il se peut il joue avec le bout des seins, tandis que la femme le tient aussi entouré de l’un de ses bras, ou des deux ; ils sont ainsi bouche à bouche, se faisant langue fourrée, et l’homme peut patiner sa belle comme il lui plait, devant et derrière, avec la main qui lui a servi à placer son priape. Au milieu de tout cela les reins et les culs ne