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de l’homme, ses tètons touchent aux genoux de ce dernier, qui voit alors en plein les fesses entr’ouvertes, le trou du cul et l’entrée du con de la belle, ainsi que les allées et venues de son vit dans ce joli bijou ; il est bien plus commodément pour palper tout celà, et chatouiller autour du laboratoire génital, et activer la besogne en donnant un postillon droit dans cet anus qui semble être un œil de Cyclope se regardant en face. Cette vue voluptueuse appelée avec raison la vue des Pays Bas, ne tarde pas, jointe aux caresses de l’homme sur tout ce qu’il voit ainsi, à conduire les deux fouteurs à une activité de mouvements et de jeux d’imagination tels, qu’une ample et mutuelle décharge en devient promptement la conséquence forcée.

X. le piquet de côté.

L’homme est assis sur une chaise en avant, les jambes un peu ouvertes, et le vit en érection, la femme debout de côté, la jambe droite entre celles de l’homme et l’autre croisée par dessus sa cuisse gauche, elle tient par derrière le col de l’homme, son bras gauche dont l’homme prend la main de sa main gauche aussi, la femme de sa main droite, guide dans son con le vit qui se présente fièrement par la position entre le haut de ses [cuisses]