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ce qui donne à cette posture le nom de perspective du Bas-Rhin (lisez rein). Les deux amants ainsi joyeusement occupés, et s’agitant comme il convient, ne tardent pas à fournir chacun par une ample décharge la preuve du plaisir mutuel qu’ils ont goûté.

VIII. La Grue.

La femme est debout, le cul appuyé au lit ou ailleurs, elle étreint de ses bras, l’homme aussi debout devant elle, face à face, bouche contre bouche, poitrine et ventre, contre poitrine et ventre. L’homme enlève sous l’un de ses bras une des cuisses de la femme, à la hauteur du jarret, il présente son vit à l’ouverture du con, dont il facilite l’entrée de sa main libre, et une fois dedans il étreint de cette main la femme aux reins ou à la fesse pour la soutenir et la serrer contre lui, chacun alors remue selon sa force, du cul et des reins et se faisant mutuellement langue fourrée, et cela finit par une voluptueuse et réciproque décharge.

IX. La vue des Pays Bas.

C’est à peu près la même que la perspective du Bas-Rhin ci-dessus décrite (no 7). Seulement la femme une fois à cheval et enfilée, comme pour la posture susdite déjà décrite, au lieu de se tenir droite à genoux, s’étend la figure du côté des pieds