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trine de l’homme qu’elle étreint de ses deux bras au-dessus ou au-dessous des épaules selon sa taille et elle allonge ses jambes le long de celles de l’homme dont les mains sont libres, en dessus ou en dessous des épaules de la femme, il s’en sert bien entendu pour caresser tout ce qu’il peut toucher ; il palpe à son aise le dos, les reins, les fesses de la dame, il promène ses doigts autour de l’endroit où la besogne s’opère, dans la raie des fesses et au trou du cul, qu’il excite du bout d’un doigt mouillé. Enfin le résultat connu arrive et les amants expirent dans les bras l’un de l’autre, en s’inondant réciproquement d’un foutre brûlant. Cela s’appelle l’ordinaire renversé, car c’est vraiment la première posture ci-dessus décrite, prise à l’envers, c’est-à-dire la femme dessus et l’homme dessous.

VII. La perspective du Bas-Rhin (rein).

L’homme se couche le dos sur le lit, la femme lui tournant le dos, se met à cheval sur lui, à genoux et proche de ceux de l’homme, elle s’enfile elle-même et les coups de reins réciproques vont leur train ; par sa position, la femme badine avec les couilles de l’homme, qui lui patine de ses deux mains libres le dos, les reins, les fesses de la belle dont il a en plein la douce vue