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dame, ou par toutes les beautés enfin qu’il peut atteindre, le tout pendant qu’il pousse vigoureusement son vit dans le petit four, jusqu’à ce qu’il ait laché sa fournée et que la femme lui en ait témoigné sa reconnaissance par une politesse analogue.

V. La Chevalière.

L’homme se couche de son long le dos sur le lit, la femme se met à cheval et droite sur lui, à genoux, le long de ses côtes, elle coiffe de son con le vit décoiffé de l’homme bandant, et se l’enfonce elle-même jusqu’aux poils, ensuite elle remue en haut et en bas, comme si elle était secouée par un cheval, dont au reste l’homme imite le mouvement par ses coups de reins en avant et en arrière, tout en promenant ses mains libertines sur les parties de la femme qui sont à sa disposition ; il lui palpe les cuisses, les hanches, les fesses, la motte, &a ; il caresse et pelotte, jusqu’à ce que les caresses et le mouvement que tous deux se donnent leur fasse lâcher une bordée mutuelle du beaume d’amour.

VI. L’ordinaire renversé.

L’homme et la femme se placent d’abord comme pour la précédente posture (la chevalière) et quand la femme s’est enfilée elle se couche en avant et allonge ses jambes sur celles de l’amant, genoux contre genoux ; pose ses tètons sur la poi-