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ou l’action de foutre, tandis que la seconde convient aux fouteurs ardents qui, au contraire, ne sont satisfaits que quand la femme qu’ils exploitent leur rend coup de cul pour coup de cul, étreinte pour étreinte, secousse pour secousse, jusqu’à ce qu’une décharge réciproque ait suspendu le combat.

III. L’ordinaire, jambes en l’air.

Si la femme au lieu de croiser jambes et cuisses sur les reins de l’homme (comme dans la figure précédente) les relève droites contre les flancs de ce dernier les pieds tournés vers le plafond et font ainsi par ces jambes et cuisses un double angle droit avec son corps et celui de son fouteur unis l’un sur l’autre, comme le fait une ligne perpendiculaire tirée sur une autre horizontale, cela s’appelle l’ordinaire jambes en l’air. Le reste va à l’ordinaire et se termine par une double libation à Vénus.

IV. L’enfournée.

La femme se place à moitié en travers du lit, les jambes et cuisses allongées, l’une au dehors du lit, l’autre soutenue au jarret, par une des mains de l’homme qui se place debout, pieds à terre, entre les cuisses de la femme. Il dirige de son autre main son vit au con dont il écarte doucement les grands lèvres de la même main, qui ensuite se promène à son aise sur les tètons, le ventre, la motte, le clitoris de la