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devant au moyen de cordons pendus au plafond ou à une solive, elles se glissent ensuite dessous ses pieds de devant soit ventre à ventre, le dos appuyé sur une caisse ou des bottes de feuilles, soit se mettant à quatre pattes les fesses tournées vers le vit de l’âne qu’elles branlent dans l’un ou l’autre cas, et dont elles dirigent le bracquement dans leur con, par devant ou en levrette, le tenant toujours pour l’empêcher d’entrer plus avant qu’elles ne pourraient le supporter sans danger d’être éventrées ; elles laissent faire ensuite l’âne qui les traite bientôt comme ânesse, et déchargent plusieurs fois pendant que l’âne leur darde avec vigueur au fond de la matrice son foutre brûlant qui les inonde, ressort du con par son abondance et leur coule le long des cuisses et des jambes.

Que te dirai-je de plus sur cet article ? Je ne vois guère ce qui me resterait à t’apprendre. Il se fait tard. Si tu n’as envie de dormir un peu avant de nous lever, habillons-nous de suite, déjeunons et allons faire un tour de promenade ; nous reviendrons vers trois heures et pourrons jusqu’au diner à six heures, reprendre nos leçons.

Justine. – Levons-nous donc et déjeunons. Je m’y sens toute disposée et n’ai nulle envie de dormir.