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ont mise, pendant qu’elles mêmes lâchent la leur propre.

On a imaginé aussi des simulacres de cons, qui en effet y ressemblent et servent à certains hommes, soit en les tenant à la main, soit en les appuyant entre les cuisses des statues ou mannequins.

Les enculeurs emploient aussi les godemichés simples ou doubles dans leurs orgies soit pour remplacer les vits épuisés, soit par pur libertinage, et pour se faire branler pendant que ces simulacres agissent.

Les femmes se mettent aussi tête bêche pour se gamahucher réciproquement et en même temps, elles se sucent le clitoris, font frétiller leur langue dessus, tout autour et dedans le con, où elles fourrent la bouche, le nez, le menton, elles se chatouillent aussi le trou du cul, y mettent le nez, la langue, le doigt, se pincent, se baisent les fesses, se mordillent partout. Quelques fois l’une d’elles se met à cheval soit sur les tètons de l’autre qui lui chatouille le clitoris avec la fraise de son sein, soit sur la bouche qui travaille alors les appas à sa portée comme dans le tête-bêche, et pendant tout cela les mains ne sont pas oisives, et vont partout exciter la volupté par les titillations les plus douces, les plus variées et les plus