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cette machine, qui est un canal creux en bois, os ou fer blanc de la grosseur et de la longueur qu’on veut, et recouvert en peau ou en velours, il est fendu à la tête comme celle du vit de l’homme et a un trou dans cette fente. On l’emplit de lait tiède ou autre liquide analogue, et un piston comme celui d’une seringue sert à lancer ce liquide dans le con, au moment propre, c’est-à-dire à celui où la femme qui l’a dans le con va décharger elle même.

On en fait en caoutchouc, avec les couilles de même matière et après les avoir empli de liqueur, il suffit d’en presser les couilles par secousse au bon moment, pour en faire élancer la liqueur par la fente et le trou de la tête ou gland du godemiché absolument comme s’élancerait le foutre d’un vit véritable. On en fabrique même de doubles, c’est-à-dire qui ont deux vits en longueur séparés au milieu par de doubles couilles ; deux femmes peuvent avoir ainsi en même temps chacune un simulacre de vit dans le con, ou dans le cul, à leur choix, et jouir en même temps comme si elles étaient hermaphrodites, c’est-à-dire mâle et femelle ; en pressant chacune les couilles factices qui tiennent au bout dont elles jouissent, chacune reçoit de son côté, en même temps si elles veulent, ou séparément, à leur volonté, l’émission de la liqueur qu’elles y