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35.

Quelquefois l’un baise le cul de l’autre, ou le branlant il lui enfonce les doigts ou la langue dans le trou du cul, ils se palpent les couilles, et toutes les parties environnantes, se les mordillent, se les sucent, &a. D’autres fois ils se mettent tête-bêche ; se sucent mutuellement le vit, se le pressent des lèvres, des dents, et promènent leur langue sur le gland décalotté, jusqu’à ce qu’ils se soient réciproquement déchargé dans la bouche, ils se servent en même temps de leurs mains pour s’exciter par tous les attouchements imaginables surtout les parties respectives de leur corps, mais toujours principalement aux couilles, à la racine du vit, au périné et au trou du cul dans lequel ils fourrent un ou plusieurs doigts à la fois. Ils se foutent aussi en aisselles et autres parties du corps, imitant entr’eux autant que possible tout ce que peuvent faire un homme et une femme, ainsi que je te l’expliquerai plus tard.

Il y a de ces hommes là, qui prennent un grand plaisir à se faire rendre dans la main. ; ou même dans la bouche, le foutre qu’ils ont lancé dans le cul de leur giton. Il y en a qui vont jusqu’à se pisser et même se chier soit dans la main, ou même dans la bouche ou toute autre partie du Corps de l’autre. Ils se sucent quelquefois le vit de préférence au moment où il sort du cul et qu’il est ainsi encore couvert d’excréments car un des agréments de l’enculade c’est de retirer du cul,