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mouille un doigt de chacune, s’en plante un dans le cul, et de l’autre frotte le filet de son vit qu’il a décalotté. Par ce moyen, le vit étant plié, le foutre en sort avec plus de difficulté, et le plaisir de la décharge passe moins vite.

Une autre fois pour arriver au même résultat, le masturbateur se branle debout ou assis, mais en passant la main dessous sa cuisse pour secouer son engin, qui est aussi plié, car il n’en prend que la tête, qu’il attire en arrière de manière à décharger derrière lui.

Dans tous des cas où le masturbateur en se branlant emploie une main à cet exercice ; l’autre doit être occupée autant que possible à se chatouiller la racine du vit, les couilles, le periné, et le trou du cul, on y fourre le doigt si la position le permet.

Indépendamment de la masturbation manuelle, appelée le péché d’Onan, et dont je viens de te donner une idée suffisamment étendue celui qui a le goût des plaisirs solitaires et égoïstes, ou qui ne veut pas de femmes, soit par timidité, par peur pour sa santé, ou pour toute autre raison, emploie d’autres moyens artificiels pour se procurer la bienheureuse décharge, il fourre son vit dans des trous de matelats, de traversin,