bouton par lequel sort le lait et qu’elles livrent à la succion de l’enfant qui vient de naître. On appelle ces boutons, fraises, boutons &a, et l’ensemble de ces demi-globes s’appelle tètons, gorge, mamelles, hémisphères, appas, ce dernier nom s’applique à toutes les autres beautés d’une femme et même quelquefois d’un homme. Ce genre d’attrait séduit beaucoup l’homme, qui ne peut guère voir des tètons à découvert en tout ou en partie même, et encore moins y porter la bouche sans ressentir aussitôt le besoin de s’unir charnellement à celle qui les porte, et sans bander plus ou moins fort selon son tempérament.
L’union charnelle, c’est celle qui a lieu par l’introduction du vit d’un homme dans le con d’une femme, l’action de cette introduction et les mouvements que font les deux acteurs ou l’un d’eux pour arriver à la décharge, qui est l’émission de la liqueur séminale, résultat inévitable et but de cette action continuée suffisamment, s’appelle foutre, baiser, enfiler, se livrer au con, faire la douce affaire, faire, &a.
Les fesses sont aussi chez les femmes qui montent singulièrement l’imagination d’un homme, elles reçoivent ordinairement son hommage avant qu’il en vienne au coït, ces parties générale-