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que quand elle est bien finie, que le vit a été bien essuyé, qu’il ne lui reste pas un âtome de semence au bout, car la moindre goutte, ne tombât-elle que sur le bord des grandes lèvres du con, et non pas dedans, suffirait pour risquer de rendre mère, et il en serait de même si après être sorti, avoir déchargé dehors, le vit était remis au con avant d’être bien égoutté, pressé et essuyé de manière à ce qu’il ne restât rien, soit à la tête du vit, soit dans son canal de la précédente décharge qui put couler dans les parties sexuelles de la femme, par le frottement d’un nouvel acte vénérien, même avant qu’il eut provoqué une nouvelle décharge ; il faut donc d’abord sortir trop tôt pour ne pas sortir trop tard, la main s’employant pour achever, il vaut mieux l’employer trop vîte que de risquer de lâcher sa bordée même proche seulement du dangereux gourmand, qu’on exposerait à une indigestion de neuf mois, sans le vouloir. Il ne faut pas non plus à cause du voisinage qu’il la rende sans les mêmes précautions.