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il caresse et claque ces fesses, promène devant et derrière ses mains fourrageuses ; mais la nécessité où se trouve la femme de se servir de ses mains pour se soutenir la tête en bas, l’empêche de branler au moins son amant, qu’elle ne suce pas non plus parcequ’elle soulève le plus qu’elle peut sa tête pour que le sang n’y retombe pas à l’étouffer par suite de la position.

Elle lance bientôt dans le nez et la bouche de l’homme des flots de foutre, qui lui prouve l’effet bien heureux de ce genre de caresses.

III. La Gamahuchade à cheval.

L’homme est couché de son long sur le lit, la femme se met à genoux, de face au dessus de ses épaules, et à cheval sur sa figure, les cuisses écartées, elle se penche un peu en arrière, une main appuyée sur les oreillers, l’homme ayant ainsi sa figure entre les cuisses gamahuche la femme avec les jeux de langue et accompagnement sus détaillés ; il passe une main entre son corps et le derrière de l’une des cuisses de la femme sur le bas des reins de cette dernière pour l’appuyer contre lui, il met deux doigts de son autre main en fourche fermant les autres doigts, et il fourre une dent